« ne voyez-vous pas l’éclair, comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil »
Cette recherche met en évidence un nouveau miracle scientifique de la Sounnat (tradition) purifiée du prophète, contenu dans son Hadith afférant au passage sur ‘As-Sirat’ (le pont qui surplombe l’enfer) le jour de la résurrection; le plus rapide des gens traversera comme l’éclair et le dernier rampe. En fait cet honorable Hadith renferme un miracle scientifique traduit par cette parole du noble prophète (PBSL) : « ne voyez-vous pas l’éclair, comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil » .D’après MOUSLIM.
A ce propos, l’analyse de la signification terminologique que reflète ce Hadith, et sa mise en parallèle avec les dernières innovations de la science dans le domaine de l’ingénierie de l’éclair, nous a révélé la parfaite conformité globale entre la noble parole prophétique et ce qu’ont découvert dernièrement les scientifiques des opérations complexes et minutieuses qui surgissent dans le flash d’éclair.
En effet les nouvelles expériences ont démontré que tout flash d’éclair n’est pas continu comme on le voit, mais se compose de plusieurs phases dont les principales sont, la phase de traversée(ou passage) et celle du retour, autrement dit ce que les scientifiques appellent : « le traceur par bond » «ou « stepped leader » qui est le rayon qui traverse et enjambe du nuage vers la terre, et « l’arc de retour » ou « retourn stroke » qui est l’étincelle qui retourne vers le nuage. C’est à dire, que l’éclair passe ou traverse et retourne pendant un laps de temps imperceptible à l’œil, estimé moyennant à une dizaine de millisecondes.
Partant, dans cette recherche, on va discerner que le prophète a méticuleusement parlé de ces phases et étapes, voire déterminé leur durée, en y mettant que peu de mots; mieux encore, ce Hadith, objet de notre recherche et analyse scientifique, prouve que le prophète (PBSL) est le premier a avoir parlé de la vitesse de l’éclair avec une parfaite clarté, et le premier à parler du mécanisme d’ingénierie méticuleux des opérations physiques qui se passent dans l’éclair; ainsi que le premier à avoir déterminé la durée de ces opérations qui restent invisible.
INTRUDUCTION
Louange à Dieu qui nous a comblés du bienfait de la foi, et nous a envoyés ce noble prophète (PBSL),
Ci suit, pendant des milliers d’années, l’interprétation du phénomène de l’éclair ne puisait de fondement que mythiques et légendaires, et à l’époque où vivait le prophète, en l’occurrence le 7eme siècle, nul ne possédait le moindre savoir des minutieuses opérations qui s’effectuent au sein de l’éclair; mais celui qui ne prononce rien sous l’effet de la passion, l’envoyé de Dieu, miséricorde aux gens, a traité ces opérations dans quelques mots objet de sa parole (PBSL): «ne voyez-vous pas l’éclair, comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil?»D’après MOUSLIM. Car ces mots renferment un miracle scientifique extrêmement clair, surtout si l’on sache que les scientifiques empruntent insciemment les mêmes termes du prophète quant à leur expression afférente aux phases du passage et du retour, et que le temps nécessaire au déroulement de ces deux phases et exactement égale à celui nécessaire au clin d’œil!
En effet, c’est en méditant ce Hadith, que déboucha avec, mon excursion dans le monde des découvertes scientifiques et les plus récentes vérités fermes et certaines des scientifiques, qui s’articulent autour de ce beau phénomène effrayant.
Durant de longues générations, ce phénomène demeurait incompréhensif pour les scientifiques, et aujourd’hui, en dépit du développement auquel on assiste, le mécanisme subtil du déclenchement de l’éclair demeure ambigu (obscur) (1).Néanmoins, ces dernières années, les scientifiques se sont parvenus à appréhender les grandes lignes de l’ingénierie de l’éclair, et les principales opérations qui surgissent à travers.
Par ailleurs, cette recherche va prouver qu’il est catégoriquement impossible à l’être humain d’observer ces phases à l’œil nu, et la cause en est que le temps nécessaire à chaque phase, se mesure par des fractions de milliseconde, et bien évidemment, l’œil ne parviendra nullement à analyser les informations qu’elle reçoit pendant un tel temps; ce qui confirme fermement que le noble prophète ,nous enseigne des choses ne pouvant être visibles que par le biais des instruments photographiques développés, susceptibles de capter plus que 1000 images par seconde.(2)
Toutefois, quoiqu’il soit possible d’observer, grâce aux cameras hautement sophistiqués, certaines opérations qui s’opèrent au sein de l’éclair, jouissent de l ‘unanimité de tous les scientifiques en tant que vérités fermes et stables sans aucun doute, il n’en demeure pas moins que malgré le développement technique de ces instruments, les étapes méticuleuses de l’éclair restent un énigme perplexe pour les scientifiques.
Ceci dit, compte tenu des conditions régnantes à l’intérieur du rayon de l’éclair, aucun instrument ne peut supporter le degré très élevé de la température qui atteint les 30 milles degrés, soit 5 fois la température du soleil, et la tension électrique qui peut atteindre des millions de volts. En outre, ce qui rend l’étude de l’éclair parmi les plus délicates et complexes, c’est le laps de temps où se déroulent les étapes qui constituent le flash d’éclair, qui est au niveau des microsecondes, à savoir une fraction de millions d’une seconde. Absolument inconcevable !
Contrairement à ce qui dominait comme croyances, que l’éclair parcourt n’importe quelle distance sans aucun temps consommable, et que ce dernier est assimilé au coup d’œil, vient la parole du prophète (PBSL) avec un autre miracle, corrigeant ces fausses croyances avec toute franchise et parfaite clarté, et signalant que l’éclair a une vitesse et un temps à achever pour traverser.
Assurément, c’est un hadith qui déborde de miracles, et si c’était le fruit des efforts du prophète (PBSL) ou bien ses compagnons, le résultat serait un amalgame des mythes et légendes qui régnaient à l’époque, Ce qui démontre incontestablement que tout mot prononcé par le maître de l’humanité, est une révélation de la part du créateur de l’éclair, qu’Il soit glorifié et exalté, et qu’outre le Coran, Dieu a doté son prophète d’autre donation tel le Coran. Et le miracle à soulever de cette recherche prouvera que le prophète a absolument raison, et que l’Islam est une religion de science contrairement à ce que prétendent ses ennemis d’être une religion retardée fondée sur des mythes.
Nous allons aussi repérer la conformité globale entre ce qu’apporte le prophète (PBSL) au 7eme siècle et ce que les scientifiques y sont parvenus au 21 ème siècle ; que ce Hadith constitue l’une des infaillibles preuves de la prophétie de l’Elu de Dieu (PBSL), qui repend véritablement à la description de Dieu (exalté soit-Il) dans sa parole : « 3. et il ne prononce rien sous l’effet de la passion; 4. ce n’est rien d’autre qu’une révélation inspirée. » ANNAJEM 3-4
VERITES HISTORIQUES :
Durant de longs siècles, le phénomène d’éclair constituait un événement effrayant, et irrésolu pour les scientifiques, ainsi plusieurs légendes ont été tissées autour de son origine (naissance, déclenchement) et ses influences, et chaque civilisation voyait en ce phénomène un événement sacré inhérent aux dieux, et tentait d’y donner une explication; dans la mythologie grecque, par exemple, l’éclair était considéré comme l’arme du dieu Zeus qu’il utilisa pour tuer ses ennemis (3).
Forme (1) : image qui représente les croyances dominantes avant des milliers d’années, car ils attribuaient l’éclair aux dieux, et n’y voyaient pas une loi et code Divins. Dans la mythologie grecque, l’éclair était une arme du dieu Zeus.
L’époque contemporaine s’est caractérisée depuis le 17eme siècle jusqu’aux nos jours, à savoir pendant 2 siècles et demi, par la multiplicité des expériences scientifiques dans l’espoir de comprendre ce perplexe phénomène dont les détails restent toujours inconnus.
A ce propos ,la 1ere expérience scientifique organisée fut tentée dans la 2eme moitié du 18eme siècle par Benjamin Franklin, à travers la quelle il démontra la nature électrique de l’éclair qui ne serait qu’une étincelle électrique résultant de la rencontre de deux charges électriques opposées. Pour y parvenir, ce savant attacha un fil de soi à un cerf-volant qu’il envoya aussi prés que possible des nuages condensés et pluvieux, à savoir dans un temps orageux, au bout du fil, il attacha une baguette métallique qu’il couvrit par un isolateur de cierge pour éviter que la forte étincelle ne l’anéantisse.
Effectivement, l’expérience fut réussite, quand la baguette se rapprocha du sol, une forte étincelle ressemblante à l’éclair, jaillit, démontrant ainsi la nature électrique de l’éclair et le mécanisme de sa production; seulement les résultas obtenus furent médiocres loin de lui permettre de percevoir les délicates opérations source de cette étincelle.
Quant au physicien suédois G.W.Richmenn , auteur d’une expérience prouvant que les nuages orageux contiennent des charges électriques, il fut tué par la foudre à laquelle il se fut exposé lors de ses expériences.
Les expériences continuaient, mais leurs résultats se révélaient modestes pour pouvoir dévoiler le mystère de l’éclair; jusqu’à la fin du 19eme siècle et le début du 20eme, grâce à la photographie qui a permis aux scientifiques de capter des images de flash d’éclair, de les analyser et de connaître par la suite quelques détails imperceptibles à l’œil.
Néanmoins, à cause de la lenteur des instruments photographiques, les opérations minutieuses qui accompagnent ce phénomène, conservaient leur mystère. Il fallait attendre l’avènement des années soixante pour que les expériences connaissent un essor et un intérêt accru afin d’éviter la foudre à la quelle sont exposés les navettes spatiales, les avions et les infrastructures industrielles, ce qui a largement servi aux traitement et études des informations fournit par le laboratoire d’observation de l’éclair en ayant recours à la photographie rapide, les navettes spatiales, les radars et l’ordinateur (4).
Forme (2) : le phénomène de l’éclair a demeuré un énigme perplexe pour les scientifiques jusqu’à la 2eme moitié du 20eme siècle, grâce au développement des instruments photographiques, d’observation et de mesures. Ce qui a permis à des milliers des recherches scientifiques qui s’articulent autour de l’électricité de l’éclair et ses opérations physiques, de voir le jour.
Et finalement grâce à la photographie hyper rapide et aux traitements numériques des informations, les scientifiques se sont parvenus à prouver que le flash d’éclair peut se composer de plusieurs coups, et que chacun de ces coups se compose de plusieurs étapes ou phases, comme il a été possible d’observer ces étapes et de mesurer la durée de chacune avec une grande précision; un exploit qui ne fut réalisable qu’à la fin du 20eme siècle et début du 21eme.
LES GATEGORIES D’ECLAIR :
Avant de se livrer à percer les secrets de l’éclair, et ses fins détails, nous désirons d’abord renseigner notre cher lecteur sur les principaux types d’éclair qui peuvent lui échapper, pour la mise en évidence de l’ampleur et de la complexité de ce phénomène ainsi que la grande diversification dans ses coups, car l’éclair peut frapper n’importe où, aussi bien sur terre qu’au ciel.
En effet, la catégorie de l’éclair est déterminée par le lieu où se situent les deux charges positives et négatives, et les statistiques récentes révèlent qu’à chaque seconde se produit 100 coups d’éclair sur la planète (UMAN 1984), et tous ces coups se ressemblent de par leur processus de production et leur durées.
Forme (3) : image d’un flash d’éclair capté par le biais d’un satellite, on y observe les multiples coups d’éclair constamment le long de l’heure ; et les flash dégradés à la gauche de l’image sont des coups d’éclair qui jaillissent en même temps.
Le plus fréquent et le plus important des éclairs, est celui qui résulte de la collision de deux charges opposées entre le nuage et la terre; le bas du nuage est majoritairement négatif, alors que la charge de la surface de la terre est positive. Les scientifiques l’appellent « nuage-terre » à savoir « gloud-ground » et le symbolisent par ‘CG’.
Forme (4) : flash d’éclair entre le nuage et la terre résultant de la rencontre entre la charge du nuage et celle de la terre, engendrant un rayon d’éclair.
Le 2eme type d’éclair est celui qui se produit entre un nuage et un autre, connu sous le nom de « inter-nuage » à savoir « cloud-cloud » et symbolisé par ‘CC’; il représente ¾ des coup de l’éclair estimés à 100 coups par seconde propagés dans les différents coin du monde, car la probabilité de rencontre des charges est très grandes du fait que l’atmosphère de condensation des nuages est remplie de champs électriques.
Forme (5) : on y observe un flash d’éclair entre un nuage de charge positive et un autre de charge négative, leur rapprochement induit une collision entre les deux différentes charges opposées, générant ainsi d’immense flash que nous voyons sous forme d’éclair.
Le 3eme type est, l’éclair qui s’effectue entre le nuage et l’air, le nuage a une charge électrique déterminée et l’air autour d’un de ses cotés porte la charge opposée, il est connu sous le nom de « nuage-air » ou « cloud-air » ,et symbolisé par ‘’CA’’.
Forme (6) : éclair né entre un nuage et l’air qui l’entoure :‘’CA’’, le haut du nuage est habituellement chargé positivement et l’air en dessus est chargé négativement, et selon le même processus de toucher, se déclenche le rayon de l’éclair pour compléter le circuit électrique entre le nuage et l’air .
L’éclair dès l’espace :
C’est un éclair entre le nuage et les hautes couches atmosphériques, il se passe entre les couches élevées des nuages et la couche ionosphère qui contient des champs électriques. L’observation d’un tel éclair était accessible grâce aux instruments de photographie fixés sur les satellites (5).
Il existe plusieurs catégories d’éclair, dont on cite aussi celui qui se développe au sein du même nuage, si l’on sache que dans tout nuage lorsqu’un coté est chargé positivement, son opposé doit nécessairement avoir une charge négative, et dans les conditions d’orage favorisant la collision, se réalise l’éclair qui illumine la terre sans pour autant l’atteindre.
On trouve également l’éclair résultant d’un nuage et un objet sur terre, un arbre par exemple, maison ou bien un poteau d’électricité.
Rappelons que pour toutes ces catégories, les étapes sont pareilles ayant même mécanisme de passage et de retour de l’éclair, même vitesse et même durée.
Forme (7) : cet éclair qui frappe un poteau d’électricité, fait également partie des types des éclairs, car l’éclair peut toucher un objet sur terre, dans l’atmosphère et même dans les couches atmosphériques. Que Dieu soit glorifié !
Il existe une variété innombrable d’éclair parmi lesquels les scientifiques mentionnent : l’éclair d’été qui se produit en été, l’éclair positif, l’éclair négatif ,l’éclair plaque (6).
A souligner aussi que les scientifiques ont détecté des coups de foudre sur d’autres planètes comme Jupiter, 100 fois plus intense que ceux sur terre.
Forme (8) : éclair d’été au milieu du jour où apparaît un flash d’éclair d’un nuage vers un autre : ‘‘CC’’.
LES NUAGES ORAGEUX :
Notons que l’éclair ne peut se produire à partir de n’importe quel nuage, seuls certains assez déterminés que les scientifiques appellent nuages orageux ou bien ‘’cumulonimbus’’ peuvent constituer le climat idéal à son éclosion; un seul nuage peut suffire ou bien plusieurs, et c’est le plus fréquent. Ces nuages se caractérisent normalement par l’omniprésence de champs électriques nés à la suite du frottement des molécules de la vapeur d’eau traînées et bousculées par l’air vers le haut, on y trouve donc une condensation des charges positives qui remontent le plus souvent vers le sommet du nuage et celles négatives qui s’installent dans le bas du nuages prés du sol terrestre.
Forme (9) : nuage orageux unitaire, ce nuage typique s’élève de 3 km du sol terrestre, sa longueur est de plusieurs km et pareillement son épaisseur. On observe dans sa base la charge négative, alors que celle positive est au sommet. A noter que ce type de nuage, représentant l’état moyenne et majoritaire favorable à l’éclosion de l’éclair, que les laboratoires de météo prennent en compte pour leur mesures.
Forme (10) les nuages orageux multiples, dans ces nuages qui durent plusieurs heures, l’éclair se produit accompagné de changements météorologiques.
En fait, les coups d’éclair ne sont qu’une décharge de l’électricité qui existe sur les nuages faisant de l’éclair une soupape de sécurité, permettant le rééquilibrage des énormes charges qui risquent d’électriser toute l’atmosphère une fois très massives, tout à fait à l’instar d’une batterie qui s’explose une fois très chargée. Que Dieu soit exalté!
VERITES ET CHIFFRES :
Ces statistiques permettent d’avoir une large idée sur l’éclair se produisant sur terre :
-Dans chaque seconde il y’a 100 flash d’éclair dans le monde.
-Chaque jour connaît 8.6 millions de coup d’éclair.
-Dans l’espace d’un an, rien que l’USA subit 20 millions de coups d’éclair.
-Chaque flash d’éclair génère une tension électrique d’environ 100 millions à 1000 millions de volts.
-Chaque flash d’éclair crée un courant équivalent à 10 mille ampères jusqu’à 200 mille ampères.
-Simultanément, en chaque seconde, le globe terrestre subit 2000 orages.
LES OPERATIONS METICULEUSES AU SEIN DE L’ECLAIR :
D’après les lois de l’électricité, la rencontre de deux charges opposées donne naissance à un flash ou bien étincelle électrique, c’est tout à fait ce qui se passe au sein de l’éclair.
Ceci dit, les nuages se forment suite à la condensation des particules de vapeur transcendantes de la terre; le frottement, collision et réactions entre ces particules entraînent une séparation des charges en positives et négatives, par suite et comme précité, les charges négatives se situent en bas du nuage à proximité de la terre, sous l’effet de la gravité, responsable de la répartition de ces charges, tandis que les charges positives remontent au sommet du nuage. C’est ce qui se produit dans ce qu’on appelle les nuages orageux qui engendrent l’éclair.
Aussi est-il important de préciser, que la charge électrique, ou ce qu’on appelle l’énergie électrostatique, c’est ce qu’on perçoit en saisissant la poignée d’une porte après frottement de nos pieds avec le tapis, ou bien ce qu’on ressent comme légère piqûre électrique au toucher de l’écran de l’ordinateur, ce n’est qu’une forme miniaturisée d’étincelle de l’éclair! Pareillement, la jonction de deux fils électriques l’un positif, l’autre négatif, fait naître une étincelle entre les deux.
L’existence d’un nombre élevé d’électrons négatif engendre un champ électrique négatif, par contre si le nombre des protons positifs est élevé, la charge ou le champs électrique est désormais positif.
Quand alors l’accumulation de quantité des électrons en bas du nuage est suffisante, ces charges négative se déplacent, en se rapprochant du sol porteur de charges positives, par le biais de l’air humide existant entre le nuage et la terre; progresse un rayon d’éclair émanant du nuage et se forme un très fin canal dans la base du nuage. En effet l’existence de champs électrique entre le nuage et le sol, favorise l’amorçage de ce que les scientifiques appellent « le traceur » : « leader », ce rayon qui passe et progresse par bonds successifs constitue la première étape de l’éclair; lorsque ce traceur, bordé d’un champs négatif, est suffisamment proche du sol, il attire vers lui les charges positives du sol qui partent à sa rencontre et entrent en collision avec, à hauteur de quelques mètres du sol, et se forme par suite un canal reliant le nuage à la terre.
Forme (11) : la rencontre de la charge négative provenant du nuage avec celle positive partant d’un point du sol, se fait à une dizaine de mètres, et produit l’éclair qu’on voit retourner vers le nuage .
Quand la rigidité diélectrique de l’air s’écroule, et que ce dernier devient conducteur d’électricité, naît alors un fort courant électrique illuminant sous forme de flash qui progresse vers le haut, et s’intitule « arc de retour », et c’est effectivement ce coup de retour que l’on voit, du fait qu’il émet la majorité de la lumière, il dure moins de 100 microsecondes et crée le courant retourné qui est estimé à 30 milles ampères.
Ensuite, après un arrêt de 20 à 50 millisecondes, le processus se répète pour plusieurs coups en empruntant le même canal préalablement formé, sachant que le flash d’éclair peut être unitaire ou bien multiple, selon et la quantité de charges disponibles entre le nuage et la terre, et les conditions atmosphériques dominantes; parfois le nombre des coups peut atteindre 10 coups successifs et extrêmement rapides, seulement nous y voyons qu’un seul flash d’éclair sans que nos yeux puissent percevoir le passage et le retour de l’éclair (8).
Parfois c’est l’inverse qui se produit, et c’est du nuage que progresse la charge positive vers la charge négative du sol, créant un flash positif unitaire et violent sans qu’il soit succédé d’autres coups.
Dans l’espace d’un ½ second, se produit 3 à 4 coups de foudre que nous voyons en un seul flash, et un courant généré par le coup de retour pouvant atteindre 200 mille d’ampères, la vitesse de ce dernier atteint la moitié de la vitesse de la lumière.(9)
L’ECLAIR PAS A PAS :
Afin de faciliter la visibilité de ce qui s’opère exactement au sein de l’éclair, nous avons recours à ces dessins explicitant (10); qui ne sont qu’un rapprochement des faits, car en réalité l’ampleur de ces opérations brusques surgissant au sein de l’éclair restent absolument imperceptibles.
1-le premier pas de l’éclair s’emboîte par l’amorçage d’un rayon que les scientifiques appellent « le traceur » ou « leader », ce rayon ne descend pas à la fois mais passe progressant par bonds, sa charge est souvent négative alors que celle de la terre est positive.
Forme (12) : une charge négative nommée « traceur par bonds » progresse du nuage en direction du sol sous forme de bonds d’une longueur de 50 m/microseconde, le rayon se ramifie en plusieurs branches et porte environ 100 millions volts; il effectue un arrêt de 50 microsecondes entre ses bonds puis continue à avancer jusqu’à trouver un objet pour s’y heurter, sinon il retourne pour recommencer. Un seul rayon se compose de 10 milles bonds !!
2- le 2eme pas se traduit par la jonction de ce rayon avec son but sur le sol, et s’entrechoque avec ses charges positives sur une altitude d’une dizaines de mètres.
Forme (13) : 2eme pas : dés que le rayon traceur atteint la terre, il commence à attirer ses charges positives, ainsi grâce à l’énorme charge qu’il porte, il va pouvoir établir un canal liant la terre au nuage par lequel vont s’écouler les charges, et cette rencontre entre les deux charges se fait à hauteur de 30 à 100 mètres du sol.
3-le 3eme pas se concrétise par l’écoulement des charges négatives vers le sol le long du canal établi précédemment par le rayon traceur.
Forme (14) : les charges négatives se mettent à s’écouler attirant vers elles les charges positives de la terre.
4-par la suite, se produit le plus important pas, à savoir celui du coup de retour de la terre vers le nuage. Contrairement à ce qu’on croit voir que l’éclair se progresse du nuage vers la terre, la vérité se veut autrement, et c’est de la terre que ce rayon progresse vers le nuage, seulement la rapidité des opérations nous fait croire le contraire.
Forme (15) : pour le 4eme pas, le coup de retour commence à se propager vers le haut sous forme d’une onde positive avec une vitesse de plus que 100 mille km/seconde, générant un courant électrique qui ne met pas plus d’une microseconde pour atteindre moyennant les 30 milles ampère, créant plus que 99% de la luminosité de l’éclair, et c’est ce qu’on voit en réalité, c’est à dire l’éclair retournant de la terre vers le nuage.
5-finalement prend fin le coup d’éclair par la monté du rayon retourné vers le nuage, puis après un arrêt estimé à une dizaine de fraction de milliseconde (11), le coup reprend avec la même démarche. Ainsi le coup d’éclair peut se répéter plusieurs fois pour donner lieu à un seul flash; En somme, il a été enregistré pour un seul flash 47 coups d’éclair.
Forme (16) :5eme pas : après un arrêt de 20 à 50 milliseconde de l’envoi du coup de retour, s’il y’a suffisamment de charges disponibles dans le nuage, le coup se reproduit et se répète en utilisant le même canal établi auparavant.
Il est possible de résumer les étapes et durées d’un flash d’éclair typique qu’on voit généralement, à travers ce schéma.
A présent, après avoir passé en revue des expériences, des recherches et des résultats ayant pris deux bons siècles et demi, des scientifiques ayant consacré leur vie à vouloir dévoiler l’identité de l’éclair, ses phases et étapes, d’autres y sont même laissés leur vie, et combien de sommes d’argent investies afin de connaître un coup d’éclair dont la durée ne saurait dépasser un clin d’œil! Allons donc voir les vérités prophétiques, menons avec la parole du prophète illettré qui a enseigné les savants, une merveilleuse excursion, comparons, méditons, examinons, et surtout nous demandons: cet honorable Hadith, ne se conforme t-il pas et s’accommode à 100% avec ce à quoi sont parvenus les scientifiques aujourd’hui ?
HADITH DEBORDANT DE MIRACLES :
En parlant du jour de la résurrection et du passage des gens sur le pont qui surplombe l’enfer, chacun en fonction de ses œuvres dans ce bas monde, le prophète (PBSL) mentionna que le plus rapide à traverser est celui à avoir le mieux œuvré. Et voilà notre maître ABOUHOURAYRA (qu’ALLAH soit satisfait de lui) qui nous en parle sur la langue du prophète (PBSL) : « les premiers parmi vous le traverseront à la vitesse de l’éclair » ! C’est alors que lui demanda ABOUHOURAYRA : « toi qui m’es plus cher que ma mère et mon père ! À quoi est assimilé le passage de l’éclair? », Le prophète (PBSL) répond : « ne voyez-vous pas l’éclair comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil? » D’après Mouslim (12).
Le premier signe :
il s’avère clair à travers ce Hadith que ce compagnon (qu’ALLAH soit satisfait de lui ) a été surpris de cet expression du prophète, afférente au passage de l’éclair, son mouvement et sa vitesse; car on croyait que l’éclair et la lumière ne nécessitaient aucun temps pour parcourir les distances! Mieux encore, nul ne songeait que la lumière a une vitesse! On croyait que cette dernière est assimilée au coup d’œil, ce qui explique l’interrogation de l’insigne compagnon : « toi qui m’es plus cher que ma mère et mon père ! À quoi est assimilé le passage de l’éclair ? » C’est donc parce qu’il ne songeait pas que l’éclair traverse, bouge et avance, qu’il fut pris par l’étonnement.
Par conséquent le premier signe à soulever de cet honorable Hadith, c’est que l’éclair avance à une vitesse déterminée, et dans cette parole du prophète (PBSL) : « les premiers parmi vous traverseront à la vitesse de l’éclair », une claire signification sur l’existence d’un laps de temps nécessaire au mouvement d’éclair et son passage! Contrairement à ce qui prédominait, comme précité, et même jusqu’à une date proche, que l’éclair et la lumière ne recommandent aucun temps pour passer. Néanmoins les vérités scientifiques mentionnées dans cette recherche ont confirmé que l’éclair bouge, se propage par bond et traverse, comme il a été lieu de voir que le coup de retour avance d’une vitesse de l’ordre de plus que 100 mille km/seconde, une vitesse que le très véridique et le très digne de foi, nous a évoqués et signalés dans sa parole (comment traverse t-il et retourne) quoiqu’elle soit absolument imperceptible à l’œil.
Eme signe qu’ inclut cet honorable Hadith :
la parole du prophète (PBSL) :« ne voyez-vous pas l’éclair comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil ? », traduit bel et bien le mécanisme du passage de l’éclair et de son retour, ce que la science vient de découvrir récemment, car comme témoignent les vérités scientifiques citées, l’éclair n’est qu’une énorme étincelle jaillie suite au courant né entre la charge négative du nuage et celle existante sur la terre, et qu’il existe deux fondamentales phases sans lesquelles, il ne serait nullement se produire, en l’occurrence la phase du passage et celle du retour .
A présent, examinons ensemble ces termes scientifiques, le terme « step » utilisé par les scientifiques pour décrire la 1ere phase, qui veut dire « avance par bonds », et le terme « retourn » pour designer la phase du retour et qui veut dire « retourne »; des termes qui se révèlent être parfaitement identiques à ceux utilisés par le prophète, ce qui prouve indubitablement la subtilité de l’honorable parole prophétique et sa parfaite conformité aux vérités scientifiques.
Cependant que signifie ce recours des scientifiques aux mêmes expressions prophétiques ?
La réponse est portant simple et évidente, c’est que ce noble messager nous enseigne des vérités sûres comme si nous les observions et ce bien avant que les scientifiques de notre époque n’y aboutissent, et prouve également un miracle invisible incorporé dans la parole de ce prophète illettré, autrement, qui l’aurait informé qu’après 14 siècles, les savants utiliseront strictement les mêmes termes ? Et si ce grand messager avait pris ces sciences de la part des savants de son époque, il nous aurait alors fait parvenir leurs croyances inhérentes aux légendes et mythes qui submergeaient cet époque !
Eme signe :
C’est une splendide indication, dans cet honorable Hadith, quant au temps nécessaire au déroulement de l’éclair, que le grand messager a soigneusement fixé dans un clin d’œil!
Le travail que j’ai dû faire tout simplement, c’était de chercher dans les découvertes des scientifiques et leurs mesures les plus récentes du temps nécessaire au va et vient de l’onde de l’éclair, autrement dit, combien de temps met l’éclair à passer et retourner ? J’en tira que la durée est de quelques fractions de secondes, qu’elle change en fonction du temps et de l’espace mais en moyen elle est de l’ordre d’une dizaine de millisecondes (13).
C’est alors que surgisse en moi cette question : existe t-il un lien entre la durée du coup de foudre et le temps nécessaire au clin d’œil ? Et dans le cas d’égalité entre le deux, cet honorable Hadith aurait donc déterminé la durée du coup de foudre 14 siècles avant les scientifiques.
Je me suis penché sur la recherche du temps nécessaire au clin d’œil ou la durée où l’œil reste fermée pendant ce clin; et la surprise fut immense quand je découvris que cette durée est également de quelques dizaines de millisecondes !!!! Exactement le temps nécessaire au coup d’éclair.(14)
Par suite je constatai que cette durée change d’un nuage à l’autre en fonction de la distance qui le sépare de la terre et des conditions atmosphériques qui l’environnent, mais elle reste estimée à quelques dizaines de millisecondes, et parallèlement le temps nécessaire au clin d’œil change également d’une personne à l’autre selon son état psychique et physique, seulement lui aussi reste estimé à quelques dizaines de millisecondes .Que Dieu soit exalté !! Quelle extrême précision dans la détermination des durées ?. Remarquons que le messager de Dieu nous a précisés et la durée et son intervalle de variation.
Est ce qu’après ce miracle, quelqu’un osera t-il nier que les Hadith du prophète (PBSL) sont des miracles scientifiques et universelles?
REFUT D’UNE REPROCHE :
Certains prétendraient peut être que le noble messager n’a pas ramené quelque chose de nouveau ; que tout bédeoin vivant au désert et observant ces phénomènes pourra voir le passage et retour de l’éclair ! Drôle de raisonnement illogique et sans aucun fondement scientifique !! Néanmoins pour fermer tout issue au moindre doute à l’égard du miracle de ce Hadith, nous nous adressons aux savants et leur demandons : est t-il possible à l’œil humain d’observer les opérations d’éclair ?
Et bien évident, la réponse est négative, car il n’est nullement possible à l’œil d’observer les événements se produisant dans des fractions de millisecondes. Certes, le flash d’éclair nous semble être continu, seulement les études minutieuses ont mis en évidence les opérations et les étapes consécutives s’effectuant en un temps très court imperceptible à l’œil. Et voici une étude qui s’articule autour de l’éclair dont l’auteur témoigne à la lettre (15) :
« A single flash is usually composed of many distinct luminous events (strokes) that often occur in such rapid succession that the human eye cannot resolve them”.
Cela veut dire : un seul flash se compose habituellement de plusieurs phases lumineuses qui s’effectuant en une rapide succession impossible à l’œil d’analyser.
A l’épreuve des faits, toute tentative de critiquer ce Hadith et de minimiser son importance scientifique, sera vivement et automatiquement vouée à l’échec, mais pour écarter tout doute, laissons la langue arabe nous fournir la signification directe des deux termes …….afin de saisir incontestablement la parfaite conformité de la signification de ces deux termes avec ce que révèle cette recherche
LA SIGNIFICATION DIRECTE DES DEUX TERMES :
Etymologiquement, le mot arabe’ marra’, comme le souligne Lissan AlArab signifie passer ou aller et demeurer dans son chemin.
Le mot ‘rajaâa’ lui signifie revenir ou retourner ou reprendre, comme le souligne ‘Alkamouss Almohit’.
On aperçoit la claire signification du passage de l’éclair, à savoir son départ et son retour, c’est à dire sa remise et sa répétition, ainsi que son emprunt du même chemin, en utilisant le même canal fondé préalablement. Dans les deux termes, la signalisation de la répétition et la reprise est bien explicité, ce que justement se passe dans le flash de l’éclair, de la multiplicité des coups d’éclair, leur répétition, leur retour et leur reprise des mêmes étapes.
Le 4eme signe :
Un autre miracle s’incarne dans la parole du prophète PBSL « ne voyez-vous pas ?», car à l’époque des compagnons, eux qui sont désignés par le Hadith, la signification scientifique du passage et retour de l’éclair leur a été insaisissable par manque d’instrument de mesure de la durée de l’éclair à cette époque, seulement ils ont cru chaque mot que prononce leur prophète, leur exemple et idéal MOHAMED (PBSL) . Mais puisque cette observation est devenue accessible aujourd’hui, ne me partagez-vous pas l’avis que c’est aux scientifiques de cette époque que cet honorable Hadith s’adresse?
Aussi, toute la précision scientifique réside dans l’assimilation du noble messager (PBSL) de l’éclair au clin d’œil. Qu’on ne s’étonne donc pas à voir les scientifiques utiliser la même expression prophétique !!! Et voici une étude sur l’éclair et le tonnerre dont l’auteur décrit comment le coup d’éclair réchauffe l’air, le dilate et le contracte (16).
« Can heat the air in a fraction of a second. When air is heated that quickly, it expands violently and then contracts, like an explosion that happens in the blink of an eye ».
Cela veut dire : Le coup de foudre réchauffe l’air en une fraction de seconde, et quand l’air se réchauffe rapidement, il se dilate puis se contracte, comme une explosion qui se produit en un clin d’œil.
On conclue donc que les scientifiques de l’ère de l’espace, de l’atome et du computer utilisent strictement la même assimilation prophétique, ne serait-ce pas l’incarnation de la grandeur et la suprématie de la connaissance prophétique sur toutes les connaissances humaines ? Est-ce que cela ne signifie t-il pas que les dires du prophète, loin d’être son œuvre, sont plutôt d’une origine divine ? De la part d’ALLAH qui l’a doté des miracles incorporés dans sa parole durant sa vie et après sa mort, jusqu’au jour de la rétribution, afin que les Hadith du noble messager soient le témoin de la véracité de son message pour tout le monde.
RESULTAT DE LA RECHERCHE ET ASPECT DES MIRACLES :
Récapitulons les principaux résultats tirés de cette recherche, et qui représentent des miracles scientifiques dans le domaine de l’ingénierie de l’électricité et de l’éclair, résidant dans quelques mots ne dépassant pas une seule ligne:
- cet honorable hadith indique nettement que l’éclair bouge, passe et avance à une vitesse déterminée, contrairement à ce qui prédominait comme croyance que l’éclair ne nécessite aucun temps pour progresser du moment qu’il est confondu au coup d’œil.
- Ce hadith a mentionné les phases de l’éclair que les scientifiques viennent de découvrir récemment, précisant ainsi que l’éclair se produit en étapes et non pas à la fois comme il a été lieu de croire. En d’autre termes, le prophète avait déterminé les étapes fondamentales à travers lesquelles naît l’éclair, et sans lesquelles aucun coup d’éclair ne peut avoir lieu.
- Ce hadith a également intitulé chaque étape (passe et retourne) de son véritable et effectif nom qui correspond textuellement à son appellation scientifiquement octroyé. De plus le noble messager était le premier à avoir signalé le retour de l’éclair, corrigeant ce que nous croyons voir un seul flash alors qu’en vérité il se compose de plusieurs coups retournés.
- Ce hadith prophétique a fixé la durée d’un seul coup d’éclair dans un clin d’œil, or nous avons pu déceler de ce qui précède une parfaite égalité entre les deux, ce qui rend l’assimilation prophétique d’une extrême précision scientifique.
EPILOGUE :
Je ne saurais clore cette recherche sans avoir à répondre à une question qui pourra traverser l’esprit de son lecteur pour la première fois, qu’est : du moment que ce hadith renferme toute cette précision scientifique du mécanisme complexe de l’éclair et ses détails, pourquoi ce ne sont pas les scientifiques musulmans qui découvrent ces étapes ? Au contraire ce sont les scientifiques occidentaux des non musulmans qui décèlent ces opérations, alors qu’ils n’ont ni lu ce hadith, ni même en pris aucune connaissance ?
La réponse réside tout simplement dans le fait que les musulmans prennent pour extrême certitude tout ce que leur ait apportés le prophète, cependant ces vérités et miracles constituent des preuves tangibles sur la véracité du message de l’Islam vis-vis des non musulmans. Car quand le prophète s’adresse aux athées avec ces vérités scientifiques eux même qui vont les découvrir, marque l’apogée de la prééminence et stipule la preuve irréfutable de sa sincérité.
Et le plus miraculeux, en effet, c’est de voir le prophète utiliser ce miracle scientifique lors de sa parole concernant le jour de résurrection, ce que justement les athées nient; comme s’il est entrain de leur parler en langage scientifique qu’ils maîtrisent parfaitement pour leur affirmer que ce qu’ils observent comme vérités formelles du passage de l’éclair et son retour, ne se révèlent pas plus véridiques que celle du jour de la résurrection et du passage sur ‘ As-Sirat ‘.
Ne s’avère t-il donc pas patent que l’Islam adopte le langage scientifique pour s’adresser à ses ennemis?
Alors que ce miracle prophétique, loin d’ébranler le moindre du monde la conviction du croyant une fois qu’il ne puisse l’observer concrètement, il ne fera qu’accroître et affermir sa croyance une fois l’observation est accessible; cependant pour l’athée que seules les preuves scientifiques et matérielles sont susceptibles de le convaincre, ce miracles en constitue bel et bien une. Alors mon ami l’athée, seras tu convaincu du message de l’Islam ? Ou bien ne te lassera tu pas à chercher des futiles prétextes pour éplucher ce miracle et minimiser son importance?
REMERCIEMENT ET INVOCATION :
Nous implorons ALLAH de semer dans cette recherche tout le bien et la guidée et d’en faire un moyen de convaincre tout être qui met en doute le message de l’Islam et la prophétie du dernier des prophètes (PBSL), et qu’Allah récompense de sa meilleure rétribution le noble frère ABOUHAMAM qui a attiré mon intention au sujet de cette recherche, qu’Allah le préserve et le lui réserve dans sa balance le jour de la résurrection, ainsi qu’au frère le professeur FERAS le directeur du site encyclopédique des miracles scientifiques, pour ses efforts bénéfiques qu’il déploie pour faire connaître aux gens les miracles du Livre de Dieu (glorifié et exalté soit Il ) et de la sounnat de son prophète (PBSL), sans oublier tout ceux qui contribuent à prospérer cette véritable religion de droiture.
Nous invitons également tout croyant aimant le Livre d’Allah et la sounnat de son messager, de méditer les paroles du noble messager (PBSL) et de cogiter ses miracles scientifiques, terminologiques et invisibles, cet mer riche en merveilles, secrets et trésors prophétiques en attente d’exploration et étude de ses miracles dont seulement peu ont vu le jour; et que l’on s’entraide à l’accomplissement des bons œuvres et de la piété, chacun selon ses spécialités, afin d’ acquérir la bénédiction divine, pourvu que l’on soit parmi ceux qu’Allah a louangé dans son Livre par cette parole peut être traduite comme suit : 90. Ils concouraient au bien et Nous invoquaient par amour et par crainte. Et ils étaient humbles devant Nous. AL ANBIYA’A 90 .
EN GUISE DE CONCLUSION,
Rappelons-nous tous la parole d’Allah le vrai seigneur (exalté soit Il) sur ceux qui doutent du Livre d’Allah et de la Sounnat de son messager, ceux qui s’acharnent à contredire tout miracle prophétique inlassablement mais vainement, car ils ne récolteront de leur tentative d’éteindre la lumière de le vérité que ce que l’aiguille de couture recueillera de la mer.
Nous les appelons donc à méditer les miracles que contient cet honorable parole prophétique afin qu’ils soient convaincus de la véracité de la parole d’Allah (exalté soit Il) qui dit : 32. Ils veulent éteindre avec leurs bouches la lumière de Dieu, alors que Dieu ne veut que parachever Sa lumière, quelque répulsion qu’en aient les mécréants. 33. C ‘est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu’elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les associateurs. ATTAWBA 32/33.
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Par: Abduldaem Al-Kaheel
Références:
(1)Les scientifiques avouent aujourd’hui qu’ils ignorent beaucoup des opérations qui se produisent au sein de l’éclair et des orages, voir par exemple cette recherche sur ce lien :http://www.aldis.at/research/index.html
(2) une récente études sur l’éclair affirme que l’observation des phases de l’éclair ne futaccessible qu’à l’an 2000, après avoir confectionné un appareil photo capable de capter 1000 image/seconde. Voir l’article sur ce lien.http://www.aldis.at/research/projects.html
(3) les articles sur le lien suivant permettent de percevoir la relation entre l’éclair et la mythologie grecque. http://www.crystalinks.com/greekmythology.html
(4) il est souhaitable de voir une série d’articles passionnants et simplifiés sur les principes de l’éclair, dans le site de la NASA sur ces deux liens :
http://thunder.nsstc.nasa.gov/primer/
http://thunder.nsstc.nasa.gov/shuttle.html
(5) il convient de revoir ces informations sur ce lien :http://earthobservatory.nasa.gov/Study/aces/index.html
(6)voir un article approfondi sur les différents types d’éclair sur le lien suivant : http://en.wikipedia.org/wiki/Lightning
(7) ces vérités sont évoquées sur ce lien http://www.srh.noaa.gov/mlb/ltgcenter/ltg_facts.html
(8) ce lien d’un site spécialisé dans les étude de l’éclair et la protection contre la foudre, permet de voir ce long récit sur l’éclair et son mécanisme de formation. http://www.lightningeliminators.com/Lightning%20101/lightning_glossary.htm
(9) les informations sont tirées de ce lien : http://www.educ.uvic.ca/Faculty/mroth/438/LIGHTENIN
G/JASONS/Formation5.html
(10) ce lien offre la possibilité de prendre connaissance des principes simplifiés de l’éclair.
http://www.srh.noaa.gov/srh/jetstream/lightning/lightning_max.htm
(11) un article sur l’éclair, disponible sur le lien :
http://www.fma-research.com/Q&A.htm
(12) L’imam MOUSLIM reporte dans son Sahih selon ABOUHOURAYRA (que Dieu soit satisfait de lui) dans la description du ‘Sirat ‘ et du passage des gens sur ce pont le jour de la résurrection, a dit : le prophète (PBSL) a dit : « puis le dépôt et les liens de parentés seront envoyés des deux cotés du ‘Sirat’ à droite et à gauche, les premiers parmi vous le traverseront comme l’éclair, il dit : je demandai au prophète « toi qui m’es plus cher que ma mère et mon père à quoi est assimilé le passage de l’éclair? », le prophète répondit : « ne voyez-vous pas l’éclair comment traverse t-il et retourne dans un clin d’œil ?puis il rajouta : « les suivants le traverseront à la vitesse du vent, d’autres à la vitesse de l’oiseau, d’autres, le temps de serrer des bagages, et la rapidité de chacun sera fonction de ses bonnes actions. Votre prophète se tiendra debout à coté du pont as-Sirat en invoquant Allah : « Seigneur, préserve-les ! préserve-les ! Et ce jusqu’au moment où les bonnes œuvres ne suffiront plus à assurer le traversée de ceux qui les ont accomplies. Si bien que l’homme vient ne pouvant marcher qu’en rampant. ».
(13) les scientifiques déterminent le temps écoulé entre le coup d’éclair et son retour dans une dizaine de milliseconde. http://www.lightningeliminators.com/Lightning%20101/lightning_glossary.htm
voir aussi cette recherche :
http://www.fma-research.com/Q&A.htm
une recherche sur la mesure de la durée des flash d’éclair indiquant que les mesures récentes des scientifiques montrent que la durée du flash d’éclair (la fréquence très élevée) est de quelques dizaines de milliseconde.
http://www.pa.op.dlr.de/eulinox/publications/finalrep/Thery1/Final_Report_Thery1a.html
Des vérités sur l’éclair dans le lien suivant, affirme que l’éclair avec toutes ses phases, du va et vient, dure plusieurs dizaines de milliseconde.
http://home.earthlink.net/~jimlux/lfacts.htm
(14)une recherche élargie, détermine le temps moyen écoulé pendant le clin d’œil, dans 30-50 milliseconde , sur ce lien :http://www.freepatentsonline.com/4059348.html selon une étude statistique, le temps nécessaire au clin d’œil est de 25 milliseconde ; et ce sur le lien ci-dessous : http://www.csgnetwork.com/timemath.html
(15) article intitulé ‘c’est quoi l’éclair’ sur ce lien :http://www.srh.noaa.gov/mlb/ltgcenter/whatis.html
un article sur le lien suivant, affirme que l’œil ne peut distinguer entre les coups consécutifs de l’éclair.
http://www.lightningeliminators.com/Lightning%20101/lightning_glossary.htm
(16) voir cet article sur ce lien :
http://weathereye.kgan.com/cadet/lightning/glossary.html#thunder LES REFERENCES DES ARTICLES ET LES NOUVELLES RECHERCHES SUR LE NET:
Le cher lecteur pourra accéder directement aux articles et recherches intéressants, s’articulant autour de l’éclair et les plus récentes informations auxquelles sont parvenues les savants concernant ce phénomène, a travers les liens suivant :
1-une série d’articles captivants sur le site de la NASA , autour des principes de l’éclair : http://thunder.msfc.nasa.gov/
2-article sur l’éclair, disponible dans ce lien :http://www.crystalinks.com/lightning.html
3-un article intitulé ‘les secrets du coup de foudre’ sur le lien suivant : http://www.nytimes.com/library/national/science/071800sci-environ-lightning.html
4- un article intitulé ‘leçon sur l’éclair’ sur ce lien :http://www.srh.noaa.gov/abq/preparedness/ffwxwk.htm#Lightning%20-%20Frequently%20Asked%20Questions
5-un article intitulé ‘que se passe t-il quand l’éclair et l’homme se rencontrent ?’, sur ce le lien :http://science.nasa.gov/newhome/headlines/essd18jun99_1.htm
6-article intitulé ‘mécanisme du tonnerre ‘ sur le site de protection contre l’éclair, sur le lien suivant :http://www.lightningsafety.com/nlsi_info/thunder.html
7-article intitulé ‘les charges existantes dans les orages et l’éclair’, sur le lien ci-dessous :http://www.ce-mag.com/archive/02/09/mrstatic.html
8-article intitulé ‘la science de l’éclair’ sur le site de l’espace :http://www.space.com/scienceastronomy/lightning_backgrounder.html
9-étude sur les impacts de l’éclair, sur le site de la protection contre l’éclair :http://www.lightningsafety.com/nlsi_lhm/effect.html
10- ce lien donne d’importants renseignements sur l’éclair : http://hyperphysics.phyastr.gsu.edu/hbase/electric/lightning2.html#c2
11- aussi, il convient de voir les articles publiés sur
l’éclair et ses étapes de formation, sur les liens suivants :http://science.msfc.nasa.gov/newhome/headlines/essd24may99_1.htm
http://wwwghcc.msfc.nasa.gov/overview/lightning.html
http://science.msfc.nasa.gov/newhome/headlines/essd16jun99_1.htm http://earthobservatory.nasa.gov/Study/aces/index.html http://www.thomson.ece.ufl.edu/lightning/SGEB17.html http://www.physicstoday.org/pt/vol-54/iss-11/p41.html http://home.earthlink.net/~jimlux/lfacts.htm
http://hypephysics.phy-astr.gsu.edu/hbase/electric/ligseq.html
OUVERAGES DE REFERENCE :
Il serait opportun aussi de voir un ouvrage de l’auteur très connu MARTIN UMAN sous ce titre : ‘ l’éclair ‘, publié en 1984 et considéré parmi les principaux repères de cette science.
Martin A. Uman, Lightning, Dover Publications, Inc. New York, 1984.
Ouvrage ‘l’éclair’ pour l’auteur Dean R.Koontz édité en 2003.
